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REUNION 2013 DES TRITONS, CLASSE 60/70

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24 Tritons et leurs conjoints se sont réunis à Ales, Gard, chez Barry Mac Arnoux et sa du Barry les 21, 22, 23 juin 2013. Maurice et Mado Allard, Georges (Barry) et Anne Mac Arnoux, Marcel et Jocelyne Astier, Gilles Babenko, Jean‐François Billon, Pierre et Anne Champart, Maurice et M‐Thé Chazalet, René et Michèle Claitte, Danielle Dufour, Catherine Dumon, Jacky Pouvaret, Marcel Renaud, Tony et Françoise Rouge et Roland et Sylvette Schroll. Cette réunion était la septième des Tritons classe 60/70, organisées chez Daniel Fargier en 1988 et 2005, chez René et Michèle Claitte en 2007, chez Tony et Françoise Rouge en 2008 et 2009, chez Pierre et Anne Champart en 2011 et donc chez les Barry en 2013. Une avant‐garde de six arriva le vendredi 21, juste comme Barry mettait la dernière main au dortoir‐sous‐les‐combles qui l’avait pas mal occupé au cours des mois précédents.  Les autres firent  leur apparition samedi matin pour le déjeuner, traditionnellement organisé selon la formule ‘chacun apporte son manger et plus pour partager avec les autres’.  Cela se traduisit bien sur par de la nourriture (voilà quelques années on aurait dit « bouffe ») et boissons à profusion. Pierre Champart, selon une tradition longuement établie, nous régala avec quelques sonneries au cor de chasse, fort appréciées et sans réaction négative de la part des voisins. Curieusement il n’y eut pas de réminiscence penchée sur des albums de photos spéléos, tout de mémoire entre copains contents de se retrouver.  Nous avons aussi quelque peu ressuscité les amis absents en parlant d’eux bien sur. Hubert Courtois nous fit faux bond à la suite d’une petite alerte de santé, Jacky Pouvaret faillit manquer son rendez‐vous avec Maurice en Gare des Broteaux, Marcel Astier eut raison de son lit d’appoint et passa à travers, il parvint aussi à se cogner la tête trois fois contre la même poutre (d’après les on‐dit bien sur).  Tony et Françoise Rouge, tout juste de retour d’un périple dans le royaume « soi‐disant uni » (dixit Barry) de Grande Bretagne, enchainèrent sans coup férir les quelques 300 km supplémentaires pour Alès. Quelques esprits chagrins auraient parait‐il fait courir le bruit que, une fois encore, ces dames tritonnes et assimilées se sont occupées seules des questions culinaires, des courses, etc.  Nous, Tritons, tenons à réfuter ces insinuations, il nous est arrivé de mettre le couvert et même de débarrasser, ou encore de déplacer les tables et de passer quelques denrées au barbecue. La du Barry précise par ailleurs qu’il y eut une aide considérable  de  quelques  hommes  en  cuisine,  notamment  Jean‐François  et  Roland,  l’un  en 

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